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J'ai vu le Réveil de l'Eglise par Tommy Hicks

 

 

LE MINISTERE DE L’ÉGLISE DE JESUS-CHRIST A LA FIN DES TEMPS

Tommy Hicks (1909-1973) prédicateur canadien, nous parle du réveil de notre époque en 1954, alors qu’il avait été conduit par le Seigneur à Buenos-Aires en Argentine, pour y tenir une campagne d’évangélisation de 60 jours.On a estimé à 6 millions de personnes environ (100 000 chaque soir), le nombre de ceux qui ont entendu l’Evangile accompagné de miracles. Jamais un tel résultat ne s’était vu dans l’histoire de l’Argentine. Tommy désirait utiliser le plus grand stade, même si personne ne croyait qu’il se remplirait. Il l’obtint par un miracle, ayant demandé audience auprès du dirigeant du pays, Juan Peron ; quand Tommy arriva au palais, il pria pour l’homme qui gardait la porte. Guéri instantanément, celui-ci lui promit d’arranger une rencontre avec Peron, qui était défiguré par une terrible maladie. Dieu guérit Peron sur le champ et la demande pour le stade fut accordée.

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Dans la matinée du 25 Juillet 1961, très tôt – il était deux heures et demie du matin à Winnipeg (Canada) – je reçus du Seigneur une vision avec une révélation de Dieu qui a transformé radicalement ma vie et mon ministère. Il semblait que j’étais à peine endormi lorsque, soudain, pareille à un visage, une silhouette apparut devant mes yeux, et cela non seulement une fois, mais à trois reprises.

Ce fut merveilleux de voir réapparaître cette personne le 27 juillet 1961, soit deux jours plus tard. Mais ce qui était extraordinaire, tous les détails étaient identiques. Elle revint en détail, trois fois exactement, en ce matin du 25 Juillet 1961. J’en fus si bouleversé que cela changea complètement l’idée que je me faisais du Corps de Christ, ainsi que de son ministère aux temps de la fin.

Les choses les plus grandes destinées à l’Église de Jésus-Christ sont devant nous.

 

LA VISION DU CORPS DE CHRIST

Quand la vision m’apparut au début de mon sommeil, je me trouvais tout à coup à une très grande hauteur. Je ne puis dire où je me trouvais, mais, regardant en bas vers la terre, je pus voir le monde entier. Chaque nation, chaque race, chaque langue, de l’Est à l’Ouest et du Nord au Sud.

Je reconnus chaque pays et plusieurs villes où j’étais allé. J’étais comme saisi de crainte et tremblant en regardant ce qui était là sous mes yeux. Du ciel sortait des éclairs et un tonnerre extrêmement puissant ; puis, en rapport avec cette vision, j’entendis une voix claire et limpide. C’était la voix de Dieu.

Comme les éclairs brillaient sur la face de la Terre, je tournai mes regards vers le nord; et tandis qu’un éclair plus intense illuminait toute la terre, je regardai en bas, et je vis une statue d’une stature colossale, un immense géant. Je fus suffoqué par sa vue.

Il était gigantesque, d’une telle stature ! Ses pieds semblaient atteindre le pôle Nord, sa tête le pôle Sud, ses bras étaient étendus d’une mer à l’autre. Au début, je me demandai si c’était une montagne ou un géant. Mais c’était bien un grand géant. Et je m’aperçus qu’il se débattait pour simplement survivre. Son corps était couvert de débris des pieds à la tête et semblait être ligoté.

Et tandis que je regardais tout cela, il commença à trembler, en faisant des mouvements d’une manière convulsive. Quand il se soulevait, des milliers de petites créatures, d’un aspect repoussant, semblaient vouloir s’échapper loin de lui. Quand il redevenait immobile, elles revenaient. Il me fut très clairement démontré ce qu’étaient ces petites créatures.

C’étaient des instruments de supplice qui avaient ligoté le Corps de Christ pendant tant de siècles.

Tout à coup, la main droite du géant se leva, et en même temps, une voix claire et limpide, semblable au bruit du tonnerre, retentit du haut des cieux. Puis il leva sa main gauche, et je vis ses deux mains levées jusqu’au plus haut des cieux.

Quand il fit cela, les milliers de créatures semblèrent fuir loin de lui et disparurent dans les ténèbres de la nuit. Lentement, il se mit à se lever, et comme il se levait, sa tête et ses mains pénétrèrent dans les nuages.

Debout sur ses pieds, il semblait s’être purifié des déchets et de la souillure qui étaient sur lui. Puis il se mit à lever les mains vers le ciel comme pour louer le Seigneur.

Au moment où il éleva les mains, il se trouva plongé dans les nuages.

À l’instant même où le ciel se couvrait de nuages, ceux d’entre eux qui paraissaient les plus lourds, Ô merveille!, se transformèrent en nuages d’argent, jusqu’à ce qu’ils se liquéfient en gouttes de lumière et de force, jaillissant et se posant sur le géant, que j’observais avec une curiosité accrue. Ce phénomène était si grandiose que je ne pouvais en entrevoir la signification. Alors, complètement bouleversé, je criai au Seigneur : «Qu’est-ce que tout cela signifie?»

Alors, une voix claire et parfaitement audible me répondit :

Je veux vous rendre les années que les sauterelles, les scarabées, la racaille et les voleurs, que je vous avais envoyés, avaient dévoré dans mon grand troupeau».

«Mes petits enfants, Je vous ai donné Mes trésors. Vous m’appartenez. VOUS ETES A MOI.

Je vous ai aimé d’un amour éternel. Maintenant, Ma force doit vous pénétrer. Les dons que Je vous ai faits doivent servir à un monde mourant et perdu. Je suis à l’œuvre pour vous reconstituer à nouveau»

Je compris que j’étais vraiment dans le domaine de l’Esprit, si bien que, même endormi, je pouvais sentir la présence du Seigneur. Lentement, doucement, ce formidable géant commença à fondre, comme à s’enfoncer dans la terre même. Au moment où sa forme gigantesque se fondait sur la face de la terre, c’est une grande pluie qui se mit à tomber. Les gouttes de lumière semblèrent noyer la terre entière.

Alors, tandis que j’observais ce géant en train de disparaître, je le vis soudain transformer en des millions de personnes sur toute la surface du globe.

Tous ces gens se tenaient debout sur le monde, les mains levées, louant Dieu.

Cette merveilleuse substance céleste permit à toute personne qui en était touchée de perdre sa propre vie, permettant ainsi au Seigneur Jésus de gagner pour Lui seul cette même vie.

Je ne distinguai plus aucune limite, plus aucune barrière confessionnelle, ni aucune secte, mais seulement la rayonnante Majesté céleste qui reposait sur ces êtres humains, les faisant mouvoir et amenant leurs mains dans la position élevée de la louange, de l’intercession et de l’adoration.

J’essayai de voir alors quels étaient parmi eux ceux qui intercédaient.

À ce moment éclata un grand orage, il roulait dans les cieux.

Je vis alors une apparition gigantesque sortant des nuages, et pointant ses doigts sur les uns et sur les autres. Visiblement, elle leur donnait des ordres, et ils allèrent là où elle leur ordonnait d’aller : à l’ouest, à l’est et dans d’autres directions. Je tournai en haut mes regards et vis soudain cet immense Être blanc, un personnage vêtu de blanc, d’une blancheur éblouissante, tenant un sceptre dans la main. C’était la chose la plus glorieuse que j’aie jamais vue de ma vie. Je ne pus discerner le visage, mais je compris que c’était le Seigneur Jésus-Christ. Il étendit Sa main sur les peuples du monde, hommes et femmes.

Alors, par Son geste, il sembla que la lumière liquide se répandit sur eux, sous forme d’une puissante onction divine, comme une puissance liquide. Dès qu’elle en touchait une personne, les mains de cette dernière en étaient remplies.

Et quand ces personnes reçurent ce «baume céleste», elles pénétraient dans les hôpitaux, dans les rues et dans les asiles psychiatriques; elles traversèrent les pays dans toute leur longueur et toute leur largueur. Je les vis traverser les océans, le feu et faire face victorieusement à toutes sortes de persécutions, être soulevés de terre par l’Esprit, et être emmenés à de nombreux endroits.

Ils furent placés là où Dieu les voulait, où Dieu se cherchait un peuple. Ils étaient prêts et armés en conséquence pour le combat. Je les entendis s’exprimer ainsi : «Selon Sa Parole, sois guéri» ; tandis que cette force liquide jaillissait de leurs mains, chaque personne qui en était touchée était immédiatement complètement guérie et recouvrait une parfaite santé.

Je reconnaissais que cette vision toute-puissante manifestait la démonstration du Royaume de Dieu pour tous ceux qui acceptaient de Le suivre. Je vis constamment avancer les gens tels un fleuve, je vis les humains guérir, les aveugles ouvrir les yeux, les sourds entendre et concrètement comment des milliers de gens accueillirent la puissance de la Grande Révélation. Elle semblait agir au-dedans d’eux-mêmes d’une manière liquéfiée. Aucun homme ne fut glorifié, mais seulement ces simples mots furent constamment répétés: «Selon Sa Parole, sois guéri».

Dieu était ainsi occupé à constituer une communauté qui soit en plein maturité. Il aura un peuple tellement rempli de la force divine, que ce peuple ne vivra plus sa propre vie, mais le Christ sera en vie, dans l’espérance de Sa gloire.

Mais une tragédie apparut : beaucoup de gens vers lesquels Jésus étendait Sa main refusèrent l’appel et l’onction de Dieu. Je vis la souffrance sur leurs visages : le prix était trop élevé. Il leur semblait trop important de garder leur propre vie. Ils ne voulaient pas avancer.Ils se contentèrent d’incliner la tête et commencèrent à se retirer, glissant vers les ténèbres. Le prix était plus grand que ce qu’ils pouvaient supporter et en dernier lieu, ils furent expulsés dans la sombre nuit éternelle. L’obscurité parut les engloutir de tous côtés; j’étais bouleversé en voyant cela.

Mais ceux qui avaient reçu l’onction, des centaines, des milliers de gens, en Asie, en Russie, en Afrique, en Amérique, partout dans le monde, ceux-là allaient dans le nom du Seigneur. L’onction de Dieu reposant sur eux, je les vis, ces hommes et ces femmes se mettre en marche. De tous rangs sociaux, des riches et des pauvres, je vis des gens qui étaient paralysés, d’autres malades, aveugles ou sourds, et comme le Seigneur étendait Sa main pour leur donner cette onction, ils étaient guéris et allaient à leur tour. Et voici le miracle, le glorieux miracle: ces gens étendaient leurs mains comme le Seigneur l’avait fait pour eux, et il semblait que leurs mains contenaient le même feu liquide.

En les posant sur les gens, ils disaient : « Sois guéri, selon ma parole! » Tandis qu’ils s’avançaient dans ce puissant ministère de la fin des temps, je ne réalisais pas pleinement ce qui se passait.

Regardant donc au Seigneur, je Lui demandai : «Que veut dire ceci ? Ou cela ?»

Il répondit : «C’est ce que Je vais faire dans les temps de la fin. Je vous redonnerai ce que le ver, la teigne et la chenille ont détruit. Mon peuple, celui des derniers temps s’avancera, comme une armée puissante, il couvrira la terre».

Comme j’étais à cette grande hauteur, j’observai les gens allant ici et là, sur la face du monde. Soudain, il se leva un homme en Afrique et en un instant plus tard, il était transporté par l’Esprit de Dieu en Russie, ou en Chine et en Amérique et vice versa. Je vis également des personnes de toute nation complètement transformées : en Sibérie, au Canada et en Afrique, puis sur toute la surface de la terre. Je vis littéralement l’Esprit les emmener dans les nuées et les conduire dans leur pays respectif.

Partout dans le monde les croyants avançaient. Ils passaient à travers le feu, la peste, la famine. Ni le feu, ni les persécutions ne semblaient les arrêter. Des foules en colère avec des épées et des canons venaient contre eux, mais comme Jésus, ils passaient tout simplement au milieu de la multitude et personne n’était capable de les retrouver. Ils avançaient au nom du Seigneur et partout où ils étendaient leurs mains, les malades étaient guéris, les aveugles recouvraient la vue. Il n’y avait pas besoin de longues prières.

Une chose me frappa : après avoir repassé la vision plusieurs fois dans ma mémoire et y avoir beaucoup réfléchi, je réalisai que je n’avais pas une seule fois vu ces croyants parler d’églises ou de dénominations. Ils allaient au nom de l’Éternel des armées, c’est tout, Alléluia! Dans leur marche, ils faisaient toutes choses selon le ministère de CHRIST; ils servaient les multitudes sur la surface de la terre. Des dizaines de milliers, des millions même, venaient au Seigneur Jésus-Christ, à mesure que cette armée avançait en proclamant le message du Royaume qui vient dans ces temps de la fin, ou dans cette fin des temps; c’était absolument glorieux.

Dieu va en cette dernière heure, donner au monde une démonstration telle qu’il n’en n’a jamais vue. Ces hommes et ces femmes sont de tous rangs sociaux. Les différences ne comptent plus. Je les observais tandis qu’ils se répandaient dans le monde entier. Quand l’un d’eux semblait prêt à tomber, un autre venait et le relevait. Il n’y avait pas un «grand moi» et un «petit toi», mais les montagnes étaient abaissées et les vallées rehaussées. Ils paraissaient avoir une chose en commun : un divin amour, qui semblait se communiquer à partir d’eux, tandis qu’ils avançaient ensemble, travaillaient, aimaient, ensemble.

C’était la chose la plus glorieuse que j’ai jamais vue! Jésus était le thème de leurs vies. Observant tout depuis le ciel, je vis que parfois le fleuve de lumière liquide semblait tomber sur de grandes congrégations réunies. Alors, les gens élevaient les mains et louaient Dieu pendant des heures et même des jours, à mesure que l’Esprit de Dieu descendait sur eux. Dieu a déclaré : «Je répandrai de mon Esprit sur toute chair». C’est exactement ce qu’Il faisait. Alors, pour tout homme, toute femme qui recevait l’onction, il n’y avait pas de limites au miracle de Dieu.

 

LA RESURRECTION

Mais en même temps que les croyants couvraient la Terre, une grande persécution parut s’approcher de toutes parts. Brusquement, un nouveau coup de tonnerre résonna tout autour de la Terre. J’entendis aussi une voix qui disait : «C’est ici Mon peuple, Mon épouse bien-aimée». Quand cette voix se fit entendre, je regardai attentivement le monde, je pouvais distinguer les lacs, les montagnes.

Or, voici que les tombeaux s’ouvrirent, et les saints de tous les âges et de tous les temps en sortirent. Ils vinrent de toutes les directions et semblaient former de nouveau tous ensemble ce Corps gigantesque. Les morts en Christ se levèrent premièrement. Ils furent réveillés de la mort et se levèrent avec force et puissance ensemble, afin d’aller à la rencontre de Jésus. Aucune cuirasse ne recouvrait Son corps; Il était vêtu de Majesté et de Puissance divine, et il avait une si belle apparence, si merveilleuse, si brillante, que des millions de diamants paraissaient bien pâles à côté de Lui. J’avais de la peine à réaliser… C’était si merveilleux ; tellement au-delà de tout ce que j’avais pu penser ou rêver! Puis, tandis que ce corps, de plus en plus, reprenait forme, il retrouva soudain tout à fait l’aspect du grand géant. Mais cette fois, c’était différent, il était vêtu d’une magnifique, d’une éclatante blancheur. Ses vêtements étaient sans tâches ni souillures, tandis que Son corps prenait forme. Les gens de tous temps semblaient se rassembler pour former ce Corps. Lentement, lentement, alors qu’il se dessinait en s’orientant vers les cieux, soudain des cieux, apparut le Seigneur Jésus. Il prit la place de la tête. Chaque être était dans la plénitude de la Perfection. J’entendis un nouveau coup de tonnerre où il fut dit : «C’est ici Mon épouse bien-aimée et que j’attends. Elle va arriver, éprouvée par le feu même. C’est celle que j’ai aimée depuis l’origine des temps».

 

LE JUGEMENT DE DIEU

Alors que j’étais là à regarder, soudain, mes yeux se tournèrent vers l’extrême Nord, et j’aperçus comme une destruction, des hommes et des femmes criant, en proie à l’angoisse, des immeubles s’écroulant. Puis j’entendis pour la quatrième fois la voix qui disait : «Maintenant, Ma colère se déverse sur la Terre».

De toutes les extrémités du monde semblait se répandre la colère de Dieu, comme si elle Colerearrivait en torrent sur la face de la Terre. Il me semblait que la Colère et la Justice de Dieu voulaient jaillir à travers de grandes souffrances inexprimables : les peuples de toute la Terre qui avaient rejeté le Christ en reçurent une pleine coupe. Je m’en souviens comme si cela s’était passé il y a un instant. J’étais épouvanté et tremblant devant cet horrible spectacle de villes et de nations entièrement emportées par la destruction. Je pouvais entendre les pleurs et les gémissements; j’entendais les gens sangloter. Il me semblait qu’ils criaient tout en cherchant refuge dans les creux des rochers. Mais les cavernes et les montagnes s’ouvraient. Ils se jetaient dans l’eau, mais l’eau ne les engloutissait pas. Rien ne paraissait pouvoir les anéantir. Ils cherchaient à s’ôter la vie, mais n’y parvenaient pas.

 

ENLEVEMENT

Alors, mon attention fut attirée à nouveau par le Corps glorieux, lorsque j’entendis une fois encore la Voix, semblable à un puissant tonnerre : «Voyez, l’Époux vient, sortez, venez à Sa rencontre, car Il est le Dieu de la Majesté. Abaissez-vous portes et linteaux, inclinez vos faces, prosternez-vous, adorez l’entrée du Dieu de toute Gloire».

Et à cet instant précis retentirent, comme par un signal venant du Seigneur, les harmonies d’une musique céleste. Cette musique était caractérisée par des sons et des accords exquis et d’une puissance inégalable, d’une richesse incomparable que jamais aucune oreille humaine n’avait perçue ou même imaginée, tant était merveilleux le Chant de l’Agneau, se superposant au Cantique de Moïse. Cette divine musique ne pouvait être dans sa perfection que l’œuvre de Christ, et la puissance allait croissant jusqu’au summum de la beauté et de l’harmonie divine. Pendant que j’écoutais avec ravissement, j’eus subitement un moment de faiblesse, et pourtant, cette faiblesse était ma force, parce que je me trouvais dans la présence du Seigneur et du ROI DES ROIS. J’étais rempli et submergé par la puissance du Saint-Esprit, afin de pouvoir aller en informer toutes les nations et de porter ainsi le combat en franchissant tous les retranchements pour apporter cette puissance à un monde mourant et perdu. Je savais que c’était la révélation du ROI DES ROIS dans toute Sa puissance.

Le Seigneur me montra que le Royaume de Dieu était en vue. L’Esprit et la force de ce Royaume me saisirent de telle manière que j’avais la conviction profonde et la détermination inébranlable d’un enfant de Dieu qui avait été enlevé jusqu’au troisième ciel. Daniel (le prophète) avait vu le Royaume Éternel, qu’aucune puissance de la terre ne pourrait jamais détruire. Je vis encore une fois le Corps glorieux, qui fut enlevé à cet instant dans les lieux célestes.

À ce moment précis, je me réveillai. La vision se répéta trois fois de la même manière, et elle coïncidait parfaitement jusque dans les moindres détails, dans cette perfection divine qui est l’apanage du ROI DES ROIS. Je venais de contempler le ministère du temps final, la dernière heure.

Dès ces merveilleux moments et jusqu’à ce jour, ces paroles résonnent dans mon âme : «IL VIENT BIENTÔT – IL VIENT!!!»

 

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